Je suis allée passer le week-end chez mon copain qui habite à Paris. Pour pimenter un peu les choses, j'avais rapporté mon vibromasseur.

Finalement, le seul homme qui l'a allumé de tout le week-end ça a été l'agent de sécurité, lors de la fouille de mon sac à l'aéroport.

Ma vie sexuelle est palpitante, n'est-ce pas ?

S'accorder un moment de plaisir solitaire.
Finir.
Penser à son ex.
Se mettre à pleurer la main pleine de sperme.

Voilà la nouvelle vie sans folie que je mène.

On a tous une pote très belle, bien formée etc... mais qui ne sait pas draguer et qui ne fait jamais rien pour x et y raisons.
Et, comme toutes bonnes potes, on essaye de l'aider.

Je dois être une coach formidable car cette "pote" se tape mon mec depuis 1 mois.

Hier soir, je finis en boîte avec des amis et une fille qui connait un de mes amis.

On se cherche beaucoup pendant la soirée et à la fin, pas fatigué tout les deux, on décide de marcher tranquillement.
Je finis par la ramener chez elle en pensant passer une bonne nuit.

C’était sans compter son smack devant sa porte et sa petite phrase : « merci beaucoup pour cette soirée, mais j’habite avec mon copain. »

Durant les périodes d'examen, j'ai tendance à être très stressée et donc à saigner du nez très facilement.
Ce qui rend la chose très compliquée quand ça m'arrive, parce que mon copain tourne de l'œil dès qu'il voit une goutte de sang.

Hier, pendant nos affaires et il me demande de monter sur lui. Prise dans le truc, je me laisse aller et ferme les yeux quelques secondes.

Cette scène quand j'ai ouvert les yeux après quelques secondes et que j'ai vu mon copain, tout blanc, dans les pommes, le visage plein de sang.

Ma chambre étant en travaux, et ma copine très excitée, hier, ne tenant plus, nous avons fini dans le lit de mes parents (ils étaient absents).

Evidemment il a fallu que mon père ait oublié un truc et repasse en coup de vent.
On ne l'a remarqué que lorsqu'on l'a entendu me lancer :

"Ça va je ne te dérange pas ? Tu veux peut être que je m'occupe de t'enfiler la capote la prochaine fois aussi, non ?"

J'étais en train de me laver quand j'ai entendu ma copine au téléphone avec sa meilleure amie.

Elle a dit mot pour mot :
"J'aimerais bien le faire à trois pour une fois". Elle a ajouté qu'elle allait me le proposer quand je sortirai de la douche.

Tout excité, je me dépêche de finir mais j'avais vraiment tout faux sur la nature de sa proposition.

Elle voulait qu'on aille faire les soldes dans la ville de Troyes.

Je suis célibataire depuis si longtemps que j'ai maintenant plus de sextoys que d'exs.

On en parle ?

Jeune étudiante de 22 ans, j'ai toujours rêvé de coucher avec un "papa" de 45 ans, voir plus.
(chacun ses goûts).

Depuis quelques temps, caissière le week end dans une piscine municipale, j'ai enfin trouvé "une cible".
Toujours seul, une bonne quarantaine, musclé, il est parfait.

Je commence donc à discuter avec lui d'un jour à l'autre, et fais des allusions de plus en plus claires auxquelles il a l'air bien réceptif. Nickel !
Hier, je sens que c'est le bon moment, et me prépare à lui proposer de passer chez moi le soir.

Il est arrivé, avec sa femme à la main et ses 3 petits garçons, et, devant sa petite famille dont j'ignorais totalement l'existence, il a lancé :
"Allez les enfants, on dit bonjour à Alice ! Quand on lui fait des beaux sourires elle fait un forfait réduit !"
Sa femme a ajouté : "Ahhh c'est la fameuse petite Alice ! Greg me dit souvent que vous êtes comme sa fille cachée !"

Ce soir après le repas c'est instant chaud avec mon copain. Pour débuter, je lui fais une gâterie puis il décide de faire de même.

Il commence un cunni quand soudain je me remémore deux choses : la première, une vague de NSF sur des mésaventures piquantes. La deuxième, les chips "saveur spicy" qu'il a mangé un peu plus tôt. Je l'interromps aussitôt :
"Heu, attends ! T'as mangé épicé là ?!"

On est parti dans notre meilleur fou-rire et on a eu du mal à reprendre tellement on était morts.