anecdotes
Il y a quelques temps, pour faire plaisir à ma femme, nous avons tenté l'expérience à trois, avec un autre homme.
À un moment, alors qu'il la prenait en levrette, j'ai voulu prendre sa place.
Il m'a regardé et m'a dit, narquois :
"Les aigles ne volent pas avec les pigeons"
Ma femme a explosée de rire.
À mon petit sexe.
Je travaille dans la même boite que ma femme.
Hier soir, fête de l'entreprise. La soirée (plutôt arrosée) suivant son cours, je trouve ma femme la tête penchée dans un lavabo en train de se rincer le visage.
J'en profite donc pour me faufiler derrière elle et commencer à la chauffer.
"Arrête Max, pas maintenant, mon mari pourrait ne pas être loin !"
Max, c'est mon collègue. Moi c'est Julien;
Après 6 mois de relation avec ma copine et sa libido aussi forte que celle de ma grand-mère, cela fait maintenant 3 semaines qu'on est séparés et en colocation forcée.
Bref, depuis elle a baisé plus de mecs à l'appart que le nombre de fois où on l'a fait depuis qu'on ensemble.
Cela fait maintenant un an que je suis avec mon copain.
Celui-ci ne m'a jamais fais jouir.
Je ne lui en tenais pas rigueur, jusqu’à ce qu'il me dise qu'avant moi, il avait fait jouir toute les filles avec qui il avait couché. Mais qu'au moins, avec moi, il "prend son pied sans faire d'efforts".
Nouveau fantasme de mon mec, se filmer en plein acte "pour voir quels progrès on peut faire".
Laisser mon copain faire le transfert du fichier vidéo sur sa clé.
Partir donner ses cours le lendemain (je suis prof).
Vouloir projeter "Stalingrad" à ses lycéens.
Se rendre compte que mon mec s'est trompé de clé.
À mes secondes E qui connaissent désormais le diamètre de mon anus, et à ma demande de dérogation urgente.
Actuellement dans mon lit, un peu déprimée car seule (depuis très longtemps), il fait 36• donc j’ouvre ma fenêtre de chambre pour avoir de l’air.
À mon grand bonheur de tomber nez à nez sur les voisins, la fenêtre grande ouverte, en pleine baise sauvage sur la table de la cuisine et à sa punchline en me voyant :
"C'est la canicule, on s'encule !"