anecdotes
Depuis quelques années, j'ai de plus en plus mal au dos.
Hier, rdv chez l'ostéopathe, il me dit que je dois forcement subir une charge sur le bas de mon dos fréquemment.
Etonnée, je ne parviens pas à trouver d'explication sur le moment.
C'est en rentrant le soir, lorsque nous avons entamé un coït avec mon homme et qu'il a commencé à me prendre en levrette en posant son ventre à bière sur le bas de mon dos que j'ai compris.
Je lui en ai parlé, et il a explosé de rire, en lançant :
"Ben ouais, je comprends, mais regarde, encore un peu et je pourrais même poser ma bière directement dans mon nombril !"
Ce soir, alors que je venais de sucer mon copain, je lui dis qu'on va pouvoir passer aux choses sérieuses.
Il a tiré sur la peau de ses testicules en s'exclamant : "Hissez les voiles" tout en partant vers sa X-box comme si il était porté par le vent.
Apres une dispute, ma copine, enceinte, me propose une pipe de réconciliation.
Excité, j'accepte avec plaisir en me disant qu'elle va enfin vouloir que je me lâche dans sa bouche.
Au moment où j'allais jouir et réaliser ce fantasme, elle m'a dit :
"Tu sais, il parait que le bébé sent le goût de tout ce que j avale!"
Ma femme 1 -0 Mon fantasme.
Ce soir, dans l’ascenseur, mon voisin me demande timidement quelques conseils avec les filles.
"Parce que j’entends bien que vous en ramenez souvent, jamais les mêmes, et qu'elles sont disons... satisfaites !"
Il va vraiment falloir que je baisse le son quand je regarde des pornos...
On pratiquait la gorge profonde avec mon copain.
Au moment où il allait avoir un orgasme, il a commencé à se retirer et... la moitié du préservatif est restée coincée dans ma gorge. En quelques secondes l'intégralité de la capote a glissé dans ma gorge et je l'ai avalée.
Oui vous avez bien lu : j'ai avalé une capote.
Cette nuit, n'arrivant pas à dormir et d'humeur coquine (pour une fois), je décide de réveiller mon copain avec une fellation.
J'avais à peine commencé que celui-ci se réveillait en sursaut, paniqué, et me donnait un grand coup de genou m’éjectant ainsi du lit dans un violence assez inouïe.
Note à moi même : Plus jamais d'initiative nocturne.
Ma copie me chauffe comme jamais, donc on passe à l'acte assez rapidement.
Je suis sur elle, avec ses jambes autour de mon cou.
Elle approche ses pieds de ma bouche, je les lèche avant de me rappeler qu'on rentrait d'une journée de marche...
Retirez-moi mon odorat svp.